Perdre du poids, maigrir avec la sophrologie caycédienne

Newsletter éditée par Yann LEZIER Sophrologue caycédien€/Thérapeute

Thème de la newsletter d’avril 2014 :

Perdre du poids avec la sophrologie caycédienne® !

Connaissez-vous l’histoire d’un petit gars de Ch’nord qui, entre autre, adore les plaisirs de la table ?

En novembre 2013, tout commence par une rencontre avec un groupe de « sophroteux » qui souffrent de dépendances diverses. A la fin d’une séance que le Ch’ti sophrologue vient d’animer, il lui vient, spontanément, ce questionnement : « Pourquoi ont-ils besoin d’aller chercher dans des substances ce qu’ils ont à l’intérieur d’eux-mêmes ? ».

Dans la foulée un ami, qui est sophrologue et Ch’ti lui aussi - ce qui n’arrange pas forcément les choses - lui apprend qu’il doit faire attention à son hygiène alimentaire pour des raisons de santé. Le Ch’ti sophrologue prend alors conscience que cela peut lui arriver aussi.

Un jour que le Ch’ti sophrologue (le premier) se trouve à table et se délecte des bons mets que lui a préparé sa moitié, il est très tenté d’aller se resservir. C’est tellement bon ! Il fait mine de prendre sa double ration puis il s’arrête, et lui revient une question : « Pourquoi ai-je besoin d’aller chercher en dehors de moi ce que j’ai déjà à l’intérieur ? » Il se pose, contemple comment il se sent et redécouvre la sensation de satiété et la vit pleinement. L’envie de succomber au « Reviens-y !» s’estompe puis disparaît. Il est content d’avoir éprouvé sa capacité à se libérer de sa pulsion.

Alors, nous pourrions nous dire que cela n’a pas duré bien longtemps. Et pourtant, pendant et entre chaque repas, ce changement de comportement alimentaire s’est répété. Avec occasionnellement, des dérapages bien contrôlés.  Au total, cinq kilos facilement et librement perdus avec, aujourd’hui, la satisfaction d’avoir pris ses responsabilités pour le bien de sa santé. Son entourage remarque le changement de sa silhouette et s’en réjouit!  

L’ami sophrologue témoigne : « J’ai effectivement  pour des raisons de santé essayé dans un premier temps de mettre entre parenthèses mes habitudes alimentaires. Mais comment faire ? Pas facile pour un Ch’ti « bon vivant » ! Alors je vais simplement ,pendant les séances de sophrologie que je partage avec les sophronisants, prendre le temps d’écouter mon corps, les sentiments, les sensations en prenant conscience de mes besoins alimentaires réels. Au fur et à mesure de mes entrainements je perçois mes capacités corporelles et mentales se renforcer et une intentionnalité naturelle de réduire et de limiter ce que j’appelle aujourd’hui des abus. J’ai retrouvé une hygiène alimentaire plus que correct car je n’ai plus de cholestérol, plus de triglycérides, plus de gammas et surtout plus de traitement. A vous de jouer ! »

Peu importe qui sont ces sophrologues, ce sont des êtres humains comme les autres qui ont tout au plus le mérite de s’être entrainés à la sophrologie caycédienne® pour redécouvrir et stimuler leurs capacités et les valeurs qui donnent un sens à leur vie. L’une de ses valeurs est la préservation voire l’amélioration de leur santé… Des solutions adaptées peuvent vous être proposées. Au fait, aujourd'hui c'est le 1er Avril, alors pensez à manger du poisson!

Le billet de Valérie

Problème de poids... quel place pour le mental ?

Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la sédentarité serait le 4^ème facteur de mortalité au niveau mondial. La sédentarité tue plus que la cigarette ! A la sédentarité sont associés le surpoids et l'obésité.  Il faut donc réagir.  Mais que faire ? Du sport ?... bien entendu ! Des régimes ?... pas sûr ! On sait aujourd’hui que la plupart des régimes restrictifs conduisent à une reprise du poids perdu, assorti de kilos supplémentaires avec le fameux et redouté effet "yo-yo". Alors vraiment, que faut-il faire ? La solution est probablement de retrouver ses sensations alimentaires (faim, satiété, goût), gérer ses émotions et garder une bonne image de soi.

Facile à dire, pas facile à faire.  Les techniques cognitivo-comportementales peuvent aider. La perte de poids n’est plus un objectif en soi, elle découle du succès d’autres objectifs : retrouver son corps, plaire de nouveau, être en bonne forme physique... Le travail mental se situe donc dans le registre de la levée des représentations mentales, de la gestion du stress, de l’anxiété et des émotions, de la communication avec les autres (savoir dire "non"), de la fixation d’objectifs, de l’affirmation et de l’estime de soi, de la gestion du changement et du maintien de la motivation en vue d’améliorer qualité de vie, santé et bien-être.

Valérie Caron

Dirigeante « Evolution 4S »

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